Rats, empathie et somnambulisme

Comme les somnambules décrit par Joseph-Philippe-François Deleuze, les rats on un très fort sens de l’empathie.

«Il y a chez la plupart des somnambules un développement de la sensibilité dont nous ne pouvons nous faire aucune idée. Ils sont susceptibles d’éprouver l’influence de tout ce qui les environne, et principalement des êtres vivants. Ils sont non seulement affectés par les émanations physiques ou effluves des corps, mais aussi à un degré bien plus étonnant, par la pensée et par les sentiments de ceux qui les entourent ou qui s’occupent d’eux.»

Joseph-Philippe-François Deleuze, Instruction pratique sur le magnetisme animal, Paris 1825, p.115.